Vêtement enfant La veste réversible en deux interprétations 10 novembre 2017 Lorsque Céleste est née, j’ai arrêté de coudre et de tricoter pendant presque 3 mois. C’était impossible, j’avais le temps mais pas du tout la tête à ça. Dommage, avec le recul, je pense que ça m’aurait permis de me sentir mieux, plus équilibrée. Je ne referais pas cette erreur pour bébé 2. Quand j’ai voulu me remettre à coudre, j’ai cherché un patron facile, un vêtement rapide à faire, histoire de me remettre en confiance. J’ai trouvé cette veste France Duval Stalla, qui était gratuite à l’époque, que j’avais faite pour Céleste en taille 18 mois (de mémoire). Je ne te l’ai jamais montrée par ce que… les photos prises à la tombée de la nuit en intérieur étaient un peu jaunes et la veste, utilisée presque au quotidien était tachée d’une quelconque purée. Chose qu’évidement je n’avais vue qu’une fois les photos faites ! Tant pis, j’ai décidé de les publier quand même, ce sont des photos de la vraie vie. Il y a quelques semaines, j’ai refait une version de cette veste pour Céleste, et c’est tellement un bon basique que je ne pouvais pas garder ça pour moi. Alors voici, non pas une, mais deux réalisations couture dans le même article ! C’est pas dingue, ça ? La verste réversible : facile et rapide, comme on aime Il s’agit donc du patron de la veste réversible disponible sur le site de France Duval Stalla pour la modique somme de 2 €. Quand je l’ai téléchargé, il était gratuit (promis, j’ai rien volé !) mais même en version payante, il vaut le coup et propose le patron en taille 6-12-18 mois ainsi que des explications détaillées. Il est prévu pour des textiles mailles, tels que des jerseys et des matelassés et entièrement doublé. Vive les restes de tissus! Dans ma première version, j’avais utilisé un coupon de velours gris acheté avant la naissance de Céleste pour lui faire une salopette (hum) et le jersey synthético-couac de ma jupe droite de grossesse. J’avais fait avec un biais de mon stock, blanc à pois noir. Pour cette deuxième veste, j’ai utilisé une chute de mon jersey matelassé blanc, celui de mon sweat Courcelles ainsi qu’un reste de jersey viscose rose visible dans mon pantalon de grossesse et dans mon t-shirt Harley 2. On ne le dira jamais assez : les vêtements d’enfants sont magiques pour caser les petits coupons, chutes et autres restes ! Réalisation 1 et 2 Si la couture de la première veste remonte à trop loin pour que je te donne tous les détails, elle m’avait laissé un bon souvenir, où tout s’emboîte bien, sans histoire. Je l’avais cousue à la surjeteuse, sans couture apparente. Le biais est posé à la machine. C’est d’ailleurs le seul point qui m’avait fait tiré la langue : la pose du biais sur le jersey est un peu délicate pour moi et était loin d’être parfaite. Pour cette deuxième version, entièrement assemblée à la sujeteuse, j’ai agrandi le patron d’environ 1,5 cm tout autour (précision !) pour obtenir une plus grande taille. La première veste faite en 18 mois taillait grand, j’ai donc assez peu augmenté les pièces, en prenant en compte l’élasticité très importante de mes tissus. Je voulais éviter la pose du biais, plutôt pénible et qui risquait de contrer la grande souplesse du matelassé blanc. J’ai donc opté pour une version fermée avec des pressions Kam, blanches en forme d’étoile. Je n’ai pas trouvé la technique pour relier la doublure et l’extérieur par les manches sans faire un gros nœud et comme je n’avais pas envie de me prendre la tête, j’ai juste surjetés les bords en blanc et ça le fait très bien. J’ai décidé de surpiquer le tour de la veste pour stabiliser un peu ces jerseys fous-fous et le bas gondole un peu… De toute façon, cette enfant bouge tellement qu’il est impossible de voir les détails de la veste quand elle la porte ! La veste à tout faire, indoor – outdoor La première veste a été utilisée au quotidien : elle est parfaite pour la maison quand il fait un peu frisquet le matin ou quand Céleste sort de la douche avec la tignasse mouillée. Après moult passages en machine, j’avoue être agréablement surprise par la résistance des tissus qui n’ont pas bougé d’un centimètre. Je voulais que la deuxième soit la version extérieure du premier modèle : la veste qu’on enfile entre un t-shirt à manches longues et un manteau, quand il fait un peu froid mais pas trop. La veste à tout faire, très confortable, qui laisse Céleste libre de ses mouvements, la réchauffe tout en étant jolie. Pour moi, le contrat est largement rempli. Avec le Sweat Courcelles et veste blanche, nous faisons un petit duo mère-fille qui n’est pas pour me déplaire. Je pense que je ne laisserais pas encore un an ce patron parfait dormir dans mon classeur… CoutureGiletJerseyLidlSurjeteuse Previous post La Juline 2017 avec Mauler Next post La petite pièce de mon puzzle Libérée, délivrée… reprise de la coutureUn déguisement de coccinelleGilet en molleton : l’éléphanteau aux finitions soignées Comments Pascale 8 décembre 2023 Répondre Je voudrais me procurer le patron de la La verste réversible pour enfants de France Duval Stalla. Je n’arrive pas à le trouver. Pouvez-vous m’aider? Merci Elise Lovecraft 12 décembre 2023 Répondre Bonjour Pascale, je pense qu’elle n’est plus dispo… désolée ! Peut-être que chez Ikatee, il y aurait un équivalent ? Leave a reply Annuler la réponse Δ Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.